⚡ La réponse directe
La régression du sommeil à 18 mois dure 2 à 6 semaines et touche 8 enfants sur 10. Elle est causée par l'angoisse de séparation qui atteint son pic à cet âge.
Mon protocole en 4 étapes :
- 🎯 Technique "réconfort express" pour calmer en 2-3 minutes
- 🛡️ Renforcement sécurité affective (doudou parfumé, photo famille)
- ⚡ Constance absolue malgré l'épuisement (zéro exception)
- 📈 Consolidation progressive vers le retour à la normale
Résultat avec Sasha : De 5 réveils/nuit à des nuits complètes en 4 semaines.
Je m’appelle Sophie, éducatrice de jeunes enfants et maman de Sasha, 2 ans aujourd’hui. Il y a 6 mois, notre quotidien s’est transformé en cauchemar : mon fils se réveillait 5 fois par nuit en hurlant inconsolable. Si vous êtes ici, c’est que vous vivez la même chose.
Bonne nouvelle : j’ai retrouvé nos nuits en 4 semaines chrono avec un protocole précis. Voici exactement comment faire.

Table des matières
ToggleComment gérer la régression sommeil 18 mois : mon protocole en 4 étapes (testé et approuvé)
Vous cherchez des solutions concrètes ? Les voici. Ce protocole a permis à Sasha de passer de 5 réveils par nuit à des nuits complètes en 4 semaines.
⚡ Étape 1 : Technique "réconfort express" pour les réveils nocturnes (Résultats dès la 1ère semaine)
Le problème : Votre enfant se réveille en hurlant inconsolable et ne se calme qu’avec votre présence.
Ma solution qui marche en 2-3 minutes :
Quand Sasha se réveillait en panique totale, j’ai développé ce protocole « anti-crise » :
- J’arrive immédiatement sans allumer la grande lumière
- Je parle avant même d’entrer : Maman arrive, tout va bien mon cœur
- Je pose ma main sur son dos et je chante notre berceuse fétiche à voix très basse
- Je reste jusqu’au calme complet (parfois 15 minutes) mais je ne le sors JAMAIS du lit
Pourquoi ça marche : La répétition de la même berceuse crée un signal rassurant. En 2-3 nuits, Sasha associait cette chanson au réconfort et se calmait plus vite.
✅ Résultat Semaine 1 avec Sasha
"Avant : 15-20 minutes pour le calmer. Après : 2-3 minutes avec la berceuse. Le nombre de réveils n'a pas diminué mais leur gestion était beaucoup moins épuisante. Premier espoir !"
🛡️ Étape 2 : Renforcer massivement la sécurité affective (Semaines 1-2)
Le problème : L’angoisse de séparation fait que votre enfant panique dès qu’il ne vous voit plus.
Ma technique du « doudou magique » :
J’ai créé un objet transitionnel surpuissant pour Sasha :
- Doudou imprégné de mon parfum (je portais un t-shirt 24h avant de le mettre près de lui)
- Photo de famille visible depuis son lit
- Même playlist douce toute la nuit pour créer un cocon familier
- Rituel de coucher rallongé : 45 minutes au lieu de 20 (bain, massage, 2 histoires, câlins prolongés)
Pourquoi ça marche : Ces « traces de maman » apaisent l’angoisse primitive de séparation. Sasha s’agrippait à son doudou et se rendormait plus facilement.
🎯 Étape 3 : Constance absolue malgré l'épuisement (Semaines 2-3)
Le problème : La fatigue vous pousse à céder (cododo, biberon nocturne, etc.)
Ma stratégie « zéro exception » :
Les règles que j’ai suivies coûte que coûte :
- JAMAIS de retour au lit parental (même à 3h du matin épuisée)
- Maintien absolu de la sieste d’après-midi (1h30) même si elle complique le soir
- Alternance avec Maxime : nuits paires pour lui, impaires pour moi
- Aucun nouveau « gadget » pour faire dormir (nouveau lit, chambre, etc.)
Pourquoi c’est important : Chaque exception prolonge la régression de plusieurs semaines. Sasha testait ma constance et j’ai tenu bon.
📈 Étape 4 : Consolidation et retour à la normale (Semaines 3-4)
Le problème : Les progrès sont fragiles, risque de rechute.
Ma technique de « stabilisation douce » :
Une fois l’amélioration amorcée (semaine 3), j’ai progressivement :
- Raccourci le rituel du coucher de 45 à 30 minutes
- Espacé mes interventions nocturnes (attendre 3-5 minutes avant d’aller le voir)
- Maintenu tous les éléments sécurisants (doudou, photo, musique)
- Continué le journal de sommeil pour suivre les progrès
Résultat final : Semaine 4, Sasha dormait 11h d’affilée avec maximum 1 réveil occasionnel.

Combien de temps dure la régression sommeil 18 mois ? Mon retour d'expérience
La réponse directe : entre 2 et 6 semaines selon votre accompagnement. Cette durée est cohérente avec les données de l’Institut National du Sommeil et de la Vigilance sur les troubles transitoires du sommeil chez l’enfant.
Dans ma pratique d’éducatrice, j’observe que 80% des enfants retrouvent un sommeil stable en 3-4 semaines avec un protocole cohérent. Sasha a pris exactement 4 semaines.
Timeline réaliste de la régression :
Semaines 1-2 : Phase aiguë avec pic d’intensité (c’est le moment le plus dur)
Semaine 3 : Première amélioration notable (gardez espoir !)
Semaines 4-5 : Stabilisation progressive
Semaine 6 : Retour complet à la normale dans la plupart des cas
Attention : Si les troubles persistent au-delà de 8 semaines sans amélioration, consultez votre pédiatre. Il peut y avoir une cause médicale sous-jacente.
Dans mon expérience, les enfants accompagnés avec constance et bienveillance s’en sortent plus vite que ceux dont les parents changent de stratégie en cours de route.
Pourquoi mon bébé de 18 mois se réveille la nuit ? La crise des 18 mois expliquée
Votre enfant ne fait pas un caprice. Son cerveau traverse une révolution développementale majeure. A 18 mois, trois phénomènes se combinent pour perturber son sommeil.
L'angoisse de séparation atteint son paroxysme
Vers 18 mois, votre enfant prend conscience qu’il est une personne distincte de vous.
Problème : il ne maîtrise pas encore la notion de temps. Quand il se réveille et ne vous voit pas, il panique en pensant que vous avez disparu pour toujours.
Chez Sasha, cette angoisse se manifestait par un accrochage permanent en journée, des pleurs dès que je quittais la pièce, des demandes incessantes de « maman » au coucher.
Cette étape normale du développement est détaillée dans les ressources de référence sur la petite enfance, notamment par les experts de Naître et grandir.
Explosion cognitive et motrice
Le cerveau de votre enfant traite énormément d’informations nouvelles : explosion du vocabulaire (3-4 mots par jour), perfectionnement de la marche, début de la course, compréhension des émotions complexes.
Cette surcharge cognitive perturbe ses cycles de sommeil naturels. J’ai remarqué que Sasha « pratiquait » ses acquisitions même en dormant : il marmonnait des mots et bougeait ses jambes comme s’il marchait.
Cette explosion développementale se poursuit naturellement vers le sommeil de l’enfant de 2 à 5 ans, où d’autres défis vous attendent.
Développement de l'autonomie frustrante
Votre enfant veut tout faire seul mais n’en a pas encore les capacités. Cette frustration quotidienne se ressent la nuit sous forme de réveils agités.
Les 3 erreurs fatales qui transforment une régression de 4 semaines en calvaire de 3 mois
❌ Erreur n°1 : Céder au cododo "juste pour cette nuit"
Le piège : À 3h du matin, épuisé, vous craquez et ramenez votre enfant dans votre lit.
Pourquoi c’est grave : Cette « solution » crée une nouvelle dépendance encore plus difficile à défaire. J’ai résisté à cette tentation avec Sasha malgré l’épuisement total. Résultat : 4 semaines de régression au lieu de 3 mois.
Alternative : Utilisez le protocole « réconfort express » dans SA chambre, dans SON lit.
❌ Erreur n°2 : Changer de stratégie chaque semaine
Le piège : Au bout de 10 jours sans résultats, vous testez une nouvelle méthode trouvée sur un forum.
Pourquoi c’est grave : Votre enfant a besoin de prévisibilité pour se rassurer. Changer constamment d’approche prolonge son stress et la régression.
Alternative : Choisissez UNE méthode et tenez-vous y minimum 3 semaines.
❌ Erreur n°3 : Supprimer les siestes "pour qu'il soit plus fatigué"
Le piège : Vous pensez qu’un enfant épuisé dormira mieux le soir.
Pourquoi c’est grave : C’est l’inverse ! Un enfant sur-fatigué dort moins bien qu’un enfant reposé. Sa régulation émotionnelle est perturbée.
Alternative : Maintenez absolument la sieste d’après-midi (1h à 1h30) même si elle semble compliquer le coucher.
💡 Mon secret pour tenir le coup psychologiquement
"J'ai tenu un journal de sommeil très simple : nombre de réveils, durée, technique qui a fonctionné. Voir les progrès, même minimes, m'a donné la force de continuer. La troisième semaine, Sasha est passé de 5 à 3 réveils, puis à 2, puis à 1. C'était encourageant !"
Pourquoi mon bébé de 18 mois ne veut plus dormir ? Décryptage des comportements
Votre enfant VEUT dormir, mais son cerveau l’en empêche. Dans ma pratique, j’observe que les enfants en régression montrent tous des signaux similaires qui trahissent leur épuisement.
Signes que votre enfant est épuisé mais ne peut pas dormir
Le paradoxe de la sur-stimulation : Plus Sasha était fatigué, plus il était agité. Il tournait en rond dans sa chambre, réclamait des câlins en boucle, mais repoussait le moment de se coucher.
L’effet « deuxième souffle » : Vers 20h30-21h, au lieu de s’effondrer de fatigue, il semblait retrouver de l’énergie. C’est le fameux « pic de cortisol » qui maintient les enfants sur-fatigués en éveil.
Les micro-signaux de fatigue à repérer : Se frotte les yeux, devient plus maladroit, réclame plus de portage, pleure pour des détails, résiste aux transitions.
Comment son cerveau fonctionne pendant cette période
À 18 mois, le cortex préfrontal (zone du contrôle émotionnel) est immature. Résultat : votre enfant est submergé par ses émotions et ne peut pas s’auto-réguler pour s’endormir.
L’angoisse de séparation active son système d’alerte en permanence. Même endormi, une partie de son cerveau « surveille » votre présence. D’où les réveils multiples.
Trouble du sommeil bébé 18 mois homéopathie : ce qui marche vraiment
Après consultation avec notre pédiatre, j’ai testé plusieurs aides naturelles. Attention : ces solutions sont des accompagnements, pas des remèdes miracles. La base reste l’accompagnement comportemental.
Les aides naturelles efficaces
Camomille : Tisane tiède 30 minutes avant le coucher (2-3 cuillères pour Sasha). Effet apaisant réel et rapide.
Huile essentielle de lavande : Diffusion douce dans la chambre 15 minutes avant le coucher. Pas directement sur la peau à cet âge.
Rescue Kids : 2 gouttes sur la langue lors des pics d’angoisse. J’ai constaté un effet calmant chez Sasha, surtout les soirs difficiles.
Magnésium : Sur conseil pédiatrique, cure de 15 jours de magnésium en poudre dans son biberon du soir. A aidé pour les tensions musculaires.
Ce que j'évite absolument
Mélatonine artificielle : Réservée aux cas très complexes et uniquement sous contrôle médical strict. Jamais en automédication.
Antihistaminiques « pour faire dormir » : Formellement déconseillés par notre pédiatre. Risque de dépendance et effets secondaires.
Plantes sédatives fortes : Passiflore, valériane, etc. Trop puissantes pour un enfant de 18 mois.
Régression sommeil 15 mois vs 18 mois vs 20 mois : guide complet des différences
Si vous avez déjà vécu la régression des 9 mois, vous savez que chaque âge a ses spécificités. Comprendre ces nuances vous aide à adapter votre réponse et vos attentes.
Régression 15 mois : L'apprentissage de la marche
Manifestation : Réveils pour « pratiquer » la marche, siestes perturbées par l’excitation motrice.
Ma solution : Multiplier les activités physiques en journée pour épuiser Sasha. Parc, trottinette, jeux de ballon matin ET après-midi.
Durée observée : 1-3 semaines maximum. La plus courte des régressions.
Régression 18 mois : L'angoisse de séparation
Manifestation : Réveils en panique, refus catégorique du coucher, besoin constant de présence parentale.
Ma solution : Renforcement massif de la sécurité affective + protocole « réconfort express ».
Durée observée : 2-6 semaines. La plus intense émotionnellement.
Régression 20 mois : La phase d'opposition
Manifestation : « Non » systématique au coucher, tentatives de négociation, colères au moment du rituel.
Ma solution : Choix encadrés (« Tu veux mettre ton pyjama bleu ou rouge ? ») + fermeté bienveillante.
Durée observée : 2-4 semaines. Moins épuisante que celle de 18 mois.
Angoisse séparation des 18 mois la nuit : techniques avancées pour rassurer
L’angoisse nocturne est différente de l’angoisse diurne. La nuit, votre enfant est plus vulnérable car ses défenses psychiques sont abaissées. J’ai développé des techniques spécifiques pour ces moments.
Technique des "marqueurs de présence permanente"
Photo de famille éclairée : J’ai installé une veilleuse qui éclaire doucement notre photo de famille près du lit de Sasha. Résultat : il nous « voyait » même dans le noir.
Objet transitionnel surpuissant : Son doudou « sentait maman » en permanence. Je renouvelais l’opération chaque semaine en dormant avec le doudou une nuit.
Playlist sécurisante : Même musique douce toute la nuit, comme un « fil sonore » qui le reliait à notre présence.
Technique de "préparation à la séparation nocturne"
Rituel de « au revoir » clair : Même pour aller dormir, je disais explicitement « Maman va dans sa chambre, Sasha dans la sienne, on se retrouve demain matin ».
Promesse du retour : « Maman revient toujours. Demain matin on prendra le petit-déjeuner ensemble ». Tenir ces promesses SCRUPULEUSEMENT.
Jeu du coucou-caché en journée : Pour l’aider à intégrer que « partir » ne veut pas dire « disparaître pour toujours ».
Pour optimiser l’environnement de sommeil, découvrez quelle tenue choisir pour faire dormir bébé selon la température de sa chambre.
Quand s'inquiéter et consulter ? Les signaux d'alarme à connaître
Dans ma pratique, je sais distinguer une régression normale d’un trouble nécessitant une consultation. Voici les critères précis que j’utilise.
Signaux d'alarme qui imposent de consulter rapidement
Durée excessive : Au-delà de 8 semaines sans amélioration notable malgré un accompagnement cohérent.
Symptômes physiques associés : Fièvre persistante, perte d’appétit importante, vomissements nocturnes répétés.
Régression globale : Perte d’acquis dans d’autres domaines (langage, propreté, motricité).
Troubles comportementaux sévères : Agressivité extrême en journée, automutilation, terreurs nocturnes avec agitation violente.
Épuisement parental critique : Si vous n’arrivez plus à fonctionner et que cela impacte votre santé mentale.
Si les troubles persistent, n’hésitez pas à consulter un spécialiste du sommeil près de chez vous pour un accompagnement personnalisé.
Quand la régression est normale (patience requise)
Amélioration progressive : Même lente, si vous observez des progrès chaque semaine.
Comportement diurne préservé : Votre enfant joue, mange, communique normalement en journée.
Réponse aux techniques : Même partielle, si votre enfant réagit positivement à vos efforts.
Développement global normal : Acquisitions nouvelles dans d’autres domaines.
Régression sommeil 18 mois forum : retours d'expérience et erreurs à éviter
Les forums regorgent de témoignages de parents épuisés. Dans ma pratique, j’observe que certaines « solutions » partagées en ligne peuvent aggraver la situation. Voici mon décryptage des conseils les plus fréquents.
✅ Conseils de forum qui marchent vraiment
« Tenir un journal de sommeil » → Validé ! Ça aide à voir les progrès et identifier les patterns. Je le recommande à toutes les familles.
« Alterner les parents pour les réveils » → Essentiel ! Maxime et moi alternions chaque nuit. Résultat : moins d’épuisement, plus de constance.
« Maintenir les siestes coûte que coûte » → Crucial ! Malgré les protestations, la sieste reste indispensable pour éviter la sur-fatigue.
❌ Conseils de forum dangereux
« Laisse-le pleurer, ça va passer » → Erreur ! À 18 mois en angoisse de séparation, les pleurs traduisent une détresse réelle. Il faut rassurer, pas ignorer.
« Donne-lui de la mélatonine en gouttes » → Dangereux ! Jamais d’automédication. Seul un médecin peut prescrire de la mélatonine après évaluation.
« Change de chambre pour faire du neuf » → Contre-productif ! Votre enfant a besoin de repères stables, pas de changements supplémentaires.
« Essaie une nouvelle méthode chaque semaine » → Épuisant ! La constance est la clé. Changer sans arrêt prolonge la confusion de l’enfant.
Mon conseil pour utiliser les forums intelligemment
Cherchez du soutien émotionnel, pas des solutions miracles. Les témoignages aident à se sentir moins seul, mais chaque enfant est unique. Méfiez-vous des conseils non sourcés et des solutions « qui marchent à 100% ».
Mon bilan 6 mois après : ces 4 semaines difficiles nous ont rapprochés

Aujourd’hui, Sasha dort parfaitement. Coucher serein vers 20h, endormissement autonome en 10 minutes, nuits complètes de 11h. Les réveils nocturnes sont devenus exceptionnels (moins d’une fois par mois).
Ce que cette épreuve m’a appris professionnellement :
Cette régression témoigne d’une croissance cognitive et affective normale. Plus je l’accompagnais avec bienveillance, plus Sasha développait sa confiance en lui et en notre lien. La régression est devenue une opportunité de renforcer notre relation.
Les bénéfices inattendus :
Sasha a développé une autonomie d’endormissement remarquable. Il se couche désormais sereinement, embrasse son doudou (toujours « parfumé maman » par habitude) et s’endort sans appel. Notre rituel est redevenu un moment de tendresse, pas de stress.
Mon message d’espoir pour les parents en pleine tempête :
Si vous traversez cette période, rappelez-vous que votre enfant grandit et que ces nuits difficiles construisent sa sécurité affective future. Chaque réveil géré avec bienveillance renforce sa confiance en votre retour. C’est un investissement sur son équilibre émotionnel à long terme.
La régression de 18 mois n’est qu’une étape. Intense mais temporaire et formatrice. Votre constance et votre amour sont ses plus beaux cadeaux pour grandir sereinement.
Vous allez y arriver ! Les nuits paisibles vous attendent au bout de ces quelques semaines. 🌙✨
❓ SOS Parents : vos questions urgentes sur la régression 18 mois
🆘 Mon bébé se réveille en hurlant inconsolable, que faire dans l'immédiat ?
Appliquez le protocole "réconfort express" : arrivez rapidement, parlez avant d'entrer, posez la main sur son dos, chantez toujours la même berceuse doucement. NE LE SORTEZ PAS du lit. Ça marche en 2-3 minutes avec de la constance.
⏰ Ça fait 6 semaines et ça ne s'améliore pas, est-ce normal ?
Au-delà de 6 semaines sans amélioration, consultez votre pédiatre pour éliminer une cause médicale. Parfois une otite silencieuse ou des troubles digestifs prolongent artificiellement la régression.
😴 Peut-il dormir avec nous "juste le temps que ça passe" ?
NON ! C'est le piège n°1. Cette "solution" prolonge la régression de 4 semaines à 3 mois minimum. Tenez bon dans SA chambre avec le protocole de réconfort. J'ai résisté avec Sasha et nous y avons gagné.
🍼 Il réclame un biberon la nuit alors qu'il n'en prenait plus, je cède ?
Évitez si possible. S'il en AVAIT vraiment besoin, proposez de l'eau ou une tisane de camomille tiède. Le biberon nocturne risque de devenir une nouvelle habitude difficile à défaire après la régression.
🌙 Comment tenir psychologiquement quand on n'en peut plus ?
Alternez avec votre partenaire, tenez un journal des progrès (même minimes), rappelez-vous que c'est TEMPORAIRE. Demandez de l'aide à la famille pour récupérer en journée. Votre épuisement nuit aussi à votre enfant.
🏥 Dans quels cas faut-il absolument consulter un médecin ?
Si la régression s'accompagne de fièvre, perte d'appétit, régression du langage, comportements auto-agressifs, ou si vous observez des terreurs nocturnes violentes avec agitation. Ces signes sortent du cadre normal.
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